« Akira Suzuki. Pour vous servir. »

Beau gosse. Tel est le physique qu'il rêve d'avoir. Tel est le physique qu'il pense avoir. Grand, environ un mètre quatre-vingt quatre, il ne saute pas une occasion pour narguer les petits professeurs. Il veut être le plus grand, le plus doué, le meilleur. Son poids est idéal, pour tout. Il peut passer partout. Il peut aller où bon lui semble d'aller. Vraiment, ce n'est pas chose ordinaire. Ses cheveux, toujours parfaitement coiffés, sont longs et blonds. Les cheveux que les filles envient. Les cheveux qu'elles voudraient que leurs petits copains aient. Le côté « je pars dans le vent » de ses cheveux est tout à faire normal. C'est une touche personnelle. Une touche qui lui va bien, côté caractère. Une touche qui ne manque pas d'être remarquée. Son visage est long, oval plus précisément. Il l'aime. Ses pupilles sont marron, comme le marron d'un papillon. Claires, plus exactement. Le nez du jeune homme est long, et fin, très fin. Quant à sa bouche, elle ne sourit pas souvent mais sa position « droite » donne un charme caché à ses interlocuteurs. Akira a un long cou, pas aussi long que les girafes ou les personnes battant le record, mais... Tout de même. Le jeune homme s'habille en fonction de ses amours, de ses élèves, de son humeur. Tout varie, tout. Rien n'est pareil, de jour en jour. Autant il peut être en noir, qu'en blanc. En couleur, qu'en gris. En flashy qu'en sombre. Toutes les teintes lui vont à merveille, ce qui étonne bien toutes les vendeuses qui l'aident à acheter. Ses chaussures ne sont pas si banales. Elles comportent toutes la pointe relevée vers l'avant avec un petit talon à l'arrière pour surélever le pied. Non, Akira n'est pas une fille, il est bel et bien un garçon. Bizarre je vous l'accorde, mais un homme, un vrai, un pur, un dur. Autour de son cou, il porte toujours un collier où une dent de requin y est accrochée. Blanche. Le fil du collier noir. Blanc et noir, donc. Un beau mélange. Un mélange qui devrait se voir sur tout le monde, sans exception. Telle est la pensée de notre cher jeune homme. Bon, vous le trouvez comment finalement ? Bien ? Attention à votre réponse...

« Une physiologie à envier. Une physiologie qui demande des photographies, des autographes. »
Et vous ?

Akira Suzuki. Drôle de personnage. Son métier fait partie intégrante de sa vie. Mais non pas pour enseigner, certes, il le fait, mais pour draguer. Sa vie se résume ainsi. Filles ? Garçons ? Peu importe. Les deux sexes sont ses proies. En classe, il a des favoris. Ce peut être des lycéennes, comme des lycéens. Pour lui, favoris, c'est tout lui offrir, sans compter les bonnes notes même quand c'est faux. Dans tous les lycées qu'il a fait, il a créé des problèmes avec la directrice. Souvent convoqué, ça n'a pas arrangé les affaires. Manipulateur, le jeune homme sait ce qu'il veut et fera tout pour l'avoir. C'est bien pour cette raison qu'il ne se fait jamais renvoyer. Les changements de lycées, on les explique par de simples envies, mais on ne sait pas si c'est une bonne hypothèse. Personne ne le sait. Menteur, Akira ne se prive pas des mensonges. Il peut en dire devant ses élèves, ça ne le dérange pas. Quand ces derniers le remarquent, il les colle, sans raison scolaire valable. Ainsi, ou il est aimé, ou il est détesté, selon son comportement vis-à-vis des autres. Il assume très bien cette situation. Ce que vous ne savez pas, c'est que le jeune Akira ne prépare aucun de ses cours, il les interprète, pendant la journée. En fait, il le fait croire pour pouvoir sortir tard, le soir, faire des fêtes. Alors oui, il n'est pas un bon professeur, du tout. Toutefois, certains élèves ne s'en plaignent pas, au contraire. Et pourquoi ? Simplement parce que ce professeur ne montre ses qualités qu'à ceux qu'il aime. Ceux qui l'adore. Ceux qui remplissent ses désirs. Non, il n'est pas qu'un démon, il peut être un ange, un vrai. Doux, sensuel, tel est le comportement qu'il emploie face aux beautés. Amical, cette qualité n'est présente que pour ses vrais amis. Ceux qui l'aident. Ceux qui le comprennent. Lèche-vitrines, oui, il l'est, tout dépend son humeur. L'argent passe rapidement dans les vêtements comme dans les chaussures ou encore, dans les bijoux. Non, les bijoux ne sont pas réservés aux filles, bien au contraire. Combien de garçons en portent ? Beaucoup. Ne serait-ce qu'une petite boucle d'oreille. Attentif à certains, plus précisément ses proies, il ne les laisse jamais tomber. Il les soutient, en toute circonstance. Il les aide, également. Ce peut être à faire les devoirs, à avoir un petit copain, à... Bref. Tout ce qui n'est pas dans un devoir de professeur. Il n'est pas normal. Il est différent, très différent. Il est original, si je puis dire ainsi. Le jeune homme peut être câlin, très câlin, avec n'importe qui, même ses ennemis, quand il est heureux. Enfin... Qu'en pensez-vous ? Je ne sais pas si il vous convient, mais vous n'avez pas bien le choix chers élèves. Surtout qu'il fait toutes les sciences, c'est pire, bien pire. Mais si vous êtes dans le même tempéremment, alors... ça peut coller entre vous, très facilement. Et surtout, si vous le trouvez beau, foncez, il ne vous dira rien, au contraire.

« Son mental en choque plus d'un. Son mental en fait chavirer plus d'un. »
Et vous ?

Akira Suzuki. Née le 22 juin 1983. Maternité de Tôkyô.
Ce n'était point mon tempéremment mais en regardant ce petit bout de ficelle, avec ces mots, des larmes me coulèrent sur les joues. Je repensais à tous les bons moments passés avec mes parents. Mes chers parents. Ceux qui m'aimaient, peu importe la façon dont je me comportais. Mon passé n'est pas si brillant. Certains en ont la chance, pas moi. Je ne sais pas si mon comportement actuel est dû à ce dernier, sûrement. Enfin... Je crois. Vraiment, je ne me comprends pas moi-même. Je sais qu'au fond de moi je ne suis pas ce que je montre, je le sais, mais je n'arrive pas à le dire. Je suis triste aussi, je le sens, je le vois et je le sais. J'entends mon coeur battre au rythme de ma tristesse. Malheureusement, c'est les autres qui en font les frais.

Alors que je marchais, mon sac de lycéen sur le dos pour rentrer à la maison, je croisai deux hommes. Ils étaient vêtus de noirs, et je voyais leur force. Ils me poussèrent du trottoir mais avant de tomber sur la route, je me rattrapai. Je n'osais leur faire de crasses, et dieu sait que j'aurai aimé. Je les vis courir vers ma maison. Le stress montait, je ne savais ce qui se passait. Ma journée avait été des plus normales. Je ne connaissais pas ces types, mes parents non plus, à moins qu'ils ne m'en aient jamais parlé. Je ne savais pas, vraiment. Arrivés près de chez moi, ils m'attendirent, sagement. Je courus, voulant les dépasser à tout prix. Mais quand ce fut fait, ils me suivirent, une arme à la main. A quoi rimait tout cela ? Je ne comprenais pas, vraiment. Quand j'ouvris la porte, je voulus la refermer mais ils étaient derrière. La porte se détacha, ils avaient donné le coup le plus violent que jamais personne n'aurait donné. Mes parents étaient affolés, ils me prirent et m'expliquèrent, tout, depuis le début :

« Nous te disions que tout allait bien mais ce n'était pas vrai. Ces hommes, nous les connaissons... », commença ma mère.
« Je sais, je m'en doutais. »
« Ils nous chassent, ils veulent notre mort. », poursuivit mon père.
« Comment ça ? »
« Laisse-nous finir mon trésor... », reprit ma mère. « Tu sais que nous sommes démunis. Tu sais aussi qu'on a jamais eu de chance pour trouver un travail. Tu sais aussi qu'on a galéré pour t'éduquer. Alors on a fait appel à eux. Nous voulons mourir, nous t'avons fait trop de mal. Nous les avons contactés une première fois, puis nous ne voulions plus mais ils nous suivaient, toujours. Alors ils nous ont chassés, et nous ont finalement trouvé. C'est des criminels. Tu vas vivre avec eux, ils vont te protéger. Ils sont riches, tu vas avoir une enfance heureuse. Adieu. »
« Non. Je m'en fous de l'argent. Je veux être avec vous. Vous êtes mes seuls parents, je ne pourrai supporter votre décès. Je ne pourrai vivre avec ces sales types. »
« C'est trop tard... » conclut mon père.

Notre hall d'entrée était silencieux, un silence de mort. J'avais peur. Très peur. Comment en était-on arrivé là ? Je ne comprenais rien. Les hommes en noirs se préparèrent pour tirer, mes parents me poussant, et se donnèrent un dernier baiser. Je n'eus pas le temps de réagir que la balle partit. J'avais assisté à la mort de mes parents, à leur assassinat. Les hommes m'emmenèrent, contre mon gré. Je ne pus dire au revoir à mes copains.

Ainsi avait finit ma belle vie. Avec ces sales types, je me suis mis à boire, à faire des soirées jusqu'à l'aube, et j'ai commencé à me droguer. Finalement, j'ai arrêté la drogue mais je n'ai pas pu arrêter le reste. Je suis devenu comme eux. Un homme froid, prêt à tout. Un homme calculateur, manipulateur. Un homme que personne rêverait de voir. Et pourtant, dieu sait qu'énormément de femmes m'ont aimé. Je suis nul. Je suis un pauvre type, comme eux. Je l'assume, avec dégoût. Je ne me reconnais plus. Avant, j'étais gentils, comme mes parents. C'était à peine si on me citait des défauts. Je suis à présent tout le contraire. Hé bien, c'est ainsi, ça le restera et que mes parents aillent en enfer pour ce qu'ils m'ont fait subir. Ils ne pensaient qu'à l'argent. Ils voulaient être riches et que moi aussi je le sois. Mais je m'en foutais, je ne demandais pas ça. Je ne savais pas si je pourrai continuer à vivre.

Alors, j'ai voulu changé d'air, prendre un nouveau départ. Mon mental n'a pas changé. Par contre, je suis parti de mon ancienne ville et je me suis mis à aimer les sciences. Je suis donc professeur au campus, pour les lycéens.

Oublier mon passé ? Non.
Changer mon mental ? Impossible.

« Etre soi, rester soi. »
Et vous ?

Amane

Tout d'abord, je te souhaite la bienvenue. ^^

J'aime beaucoup ta fiche (oui, j'ai l'ai lu Razz

) particulièrement ce passage «Tel est le physique qu'il rêve d'avoir. Tel est le physique qu'il pense avoir.» qui suffit à cerner la personnalité de ton personnage. xD

Bref, je ne pense pas qu'il y ait de problèmes, manque plus que la validation de l'admin. Smile

Premièrement, je te remercie de ton accueil. Deuxièmement, je te remercie du compliment sur ma fiche. Troisièmement, je savais que c'était bon, évidemment ;-) et quatrièmement, j'ai hâte de RP avec toi si tu m'accepte *o*

Hihi..j'accepterais avec plaisir. Parcontre Yumi ne t'acceptera certainement pas (elle n'aime pas vraiment les garçons).

Yumi ne m'acceptera pas ? Ca m'étonnerait. Akira sait faire du charme... En plus, sur ta fiche je vois que Yumi est hétérosexuelle à 90 % ça veut dire...

Bienvenue ! =)

Je trouve que ta fiche est super, j'aime beaucoup ! =)
Et en plus ton personnage est très original si je puis dire!

Yumi est hétéro mais .. elle a peur des hommes. xD

Par un miracle, l'Admin a réussit à se connecter Very Happy

Cher Akira, tu es validé. Ta fiche est nickel Smile

On ne risque pas de te reprocher qu'il n'y a pas assez de ligne ^^'

Bon RP parmi nous et peut-être aurons-nous l'occasion de RP ensembles Wink

Faut pas chercher à comprendre. xD

En fait j'étais privée d'ordi ; le comble pour une Admin ><

salut Akira!!!!!!
j'espère bien pouvoir rp avec toi dès que l'admin et/ou un modérateur aura validé mon compte XD
j'ai adoré ta fiche et j'espère que tu acceptera de rp avec moi ^.^

re Akira ^^
enfin validée, donc si tu veux on peut rp ensemble

» Oz, pour vous servir.
» Flore Tomoe ,pour vous servir ! <3
» Pour vous ce sera Mon Général.
» " Ce qu'on vous a volé, on le récupère ! " _ Midô Ban [70%]
» Maï Yuraki... La folle dangereuse vous attend...