« Step away from the ledge » [Pv. Mika ]

Un masse rousse descendait les escaliers à vive allure, elle courait du mieux qu'elle pouvait, mais sa robe à volants, plutôt longue, la fit tombé, et tomba dans un coin, sonnée. La chute l'avait simplement abasourdie. Sur ses pas, Matthew la suivit, et quand il la vit tomba, il ria à gorge déployée. Son aîné se mit au dessus d'elle, et la regarda, avec un air de mepris, et une lueur meurtrière dans ses yeux.

- Tu vois ce qu'il t'arrive quand on fuit sa punition, hein, sale garce !

La cage d'escalier était vide, et l'oncle souria à pleine dent. Il leva la main, et mit une gifle monstrueuse à sa nièce. La tête d'Aiko se prit le mur avec la violence du choc, toujours sous le coup, elle ne pouvait pas riposter. L'homme la regarda, presque inerte, et lui remit une gifle, et puis une autre. Il se calma d'un fois, puis s'abaissa pour au niveau de la rouquine. Il caressa lentement sa joue, en essuyant les larmes.

- Tu pleures ? Tu serais une gentille fille, tu ne pleurerais pas.

Il lui fit un sourire chaleureux, avant de lui mettre un coup de poing d'une violence rare dans le ventre. Elle cracha de grosses gouttes de sangs, sur sa robe. Et c'est à ce moment là que son oncle se rendit compte que sa robe était remontée jusqu'à ses fesses. Matthew eut une idée, il la regarda, en faisant un sourire carnassier, la petite rousse tressaillit de peur.

- On va s'amuser, dit-il à son oreille, qu'il lécha par la suite.

Avec sa main gauche, il passa une main sous la robe de la rousse, et de l'autre, il lui prit les deux mains, en serrant avec un force d'homme. Elle émit un long gémissement de douleur, et de peur. A cette instant, elle aurait aimé être morte. Souhait que ne tardera pas à arriver, vu la suite des événements que Mathhew imaginait.

- Où est Aiko ?

- Ca te regarde ?

Il toisa l'intrus du regard. Il comprenait vite, ce petit futé. Il allait s'occuper de lui, et tout de suite. Il était dans une sacrée galère, quand même. Un étranger qui voulait sauver la p'tite de sa soeur, quel beau merdier. Il pouvaiot pas trop s'en prendre à lui, il aurait les flics sur le dos. Il regarda le p'tit morveux le bouscula, il le laissa faire. Avant de prendre conscience de la gravitée de la situation, il suivit Mika, qui décrouvit la rousse. Il esquissa un sourire en voyant la rousse immobile, tremblante. Même si il y avait l'abruti, elle était incapable de partir.

- N'approchez pas.

- Fais moi rire, gringalet, tu serais incapble de prendre soin de ses blessures.

Il était en face et bien plus ganr que lui, et il osait le défiait ? Il éclata de rire en voyant le petit se mettre en position d'attaque, et fit de même. Mais il regarda la rousse, en fronçant les sourcils. Il ne la lui laisserait pas, enfin, peut-être pas dans un état correct. Il laissa tomber ses bras le long de son corps, avant de reprendre le ciseau. Il regarda Mika, avec un sourire carnassier, et planta le ciseau dans le bras de la rousse, et lui fit un énorme griffe.

- Tu veux toujours la sauver ?

La douleur, et la perte de sang fit ombait Aiko dans les pommes. Il n'avait jamais été aussi loin dans sa course à la souffrance. La rousse, inconsciente, avait garder dans l'esprit qu'elle n'en ressortirait pas vivante. Alors autant de ne pas assister à la suite du spectacle. Cet sorte de sommeil lui avait semblait comme ne délivrance à la quelle elle se laissa sombrer. Matthew avait essayer d'empêcher l'étudiant d'aller vers la rousse mais ce dernier lui sauta dessus, et le fit tomber. Le temps qu'il se relève, le petit avait déjà enleva le ciseau et prit sa nièce dans ses bras, telle une princesse sauver par son preu chevalier. Il soupira, de rage et de mécontement.

- Ne vous rendez vous pas compte de la gravité de vos actes ? VOUS ALLEZ LA TUER NON DE NON ! C'est ce que vous voulez ? Vivre avec le meurtre d'une jeune fille sur le dos ? Toute votre chienne de vie ? Vous meritez d'allez en enfers ! ALLEZ CREVER EN ENFERS ! Que vous a t'elle donc fait pour mériter ça ? Les gens comme vous devrais pas exister. Vous êtes son oncle, vous êtes sur le point de la tuez ! Et cela vous amuse ! Vous êtes un monstre. Osez levé la main sur une fille. Sur votre nièce !

- Ton opinion m'importe peu. C'est un charge, un boulet. Au début, c'était juste un jeu, mais au final, à chaque que je la vois, j'ai cette envie de la détruire, et sans me vanter, j'y arrive plus ou moins bien. Elle ne sera jamais une femme bien, elle finira par péter les plombs, et ça, tu ne pourras pas l'en empêcher.

Quand il vit son regard, il éclata de rire, un rire d'homme lourd et gluterrale. Dans tout les cas, la petite était dans une sale posture. Il lui laisserai la possibilité de partir, ou non, lui partirait. Ce qu'il fit, il prit la direction de la porte, et regarda Mika, en déclarant.

- Jamais deux sans trois.

Il partit, les laissant là. La troisème fois, il la tuera, avec un sacré plaisir.

Le silence régnait dans cet appartement, et bien qu'aprés ce qu'il s'est passé, le silence était bien sombre. Comme aprés le calme aprés un tempête. Il était pesant lourd, c'était le silence aprés l'orage mais avant la tornade. La jeune femme à la chevelure flamboyante était endormie, et ne réagissa pas aux soins du jeune homme. Elle se réveilla plus tard, quand la nuit venait de montrer son bout du nez. Aio ouvrit difficilement les yeux, et se sentit douleureuse un peu partout. Elle s'étira comme un chat, et sentit un douleur forte à son bras, elle le regarda, se souvenant de ce qu'il s'était passée. Elle regarda longtemps son bras pensé, et laissa coulait ses larmes. Elle ramena ses jambes à elle, et passa ses bras autour. Elle déposa sa tête sur ses genoux, et entra dans un sanglot incontrolable. Puis elle se sentit observa, elle tourna légèrement la tête vers Mika.

- C'est toi tout ça ? J'veux dire les pensements et tout ? Elle regarda le vide, évitant son regard. Fallait pas, hein .. Elle lui fit un léger sourire. Tu vas .. Enfin, fallait pas faire tout ça. J'en mérite pas tant. Aprés tout ce que je t'ai dis à la gare. Tu n'auras pas du venir, elle semblait affreusement mal, et sincère. Mais .. Merci Mika.

Elle souria du mieux qu'elle pouvait, mais elle repartit dans un sanglot presque inconsolable.

Lorsqu'elle reçu la pichenette, elle le regarda avec ses yeux bleus océan, en écoutant son discours.

- Cesse donc de pleurez, cela apportera rien. Il faut que tu relève la tête, que tu te redresse, et que tu changes les choses. C'est que comme ça que sa ira mieux. Pas en restant là a te morfondre et pleurez jusqu’au moment ou ce bâtard repointera le bout de ce nez. LEVE TOI ET CHANGE CES PUTINS DE CHOSE A LA CON ! [


- Mika, je ne peux rien faire. Je suis sous sa tutuelle jusqu'à mes vingt-et-un ans. Aprés, j'ai plus personne. J'aurais rien, rien pour vivre. Le boulot, je peux pas non plus, sinon, les cours me tombent sous le nez. Il finira par me tuer, et alors ?


Elle se leva, et se tena en face de lui. La rousse, qui devait faire au moins dix centimètres de moins que le jeune homme aux cheveux noirs, croisa son regard. Elle avait du mal à décroché de la profondeur de ses yeux. Elle secoua la tête de gauce à droite, pour se décrocher.

- Tu vois, à la base, c'était pour te le ramener.

- Aah .. Elle regarda le carnet, silencieuse. Elle ne savait pas quoi dire. Merci mais .. Enfin, ça valait pas le déplacement.

　
- J'ai écrit mon numéro, dans mon carnet. Si jamais tu veux parlez.

La rousse vit Mika partir, et resta silencieuse. Avant de lui attraper le poigné.

- Pour les cd's ? Tu en veux à prêter ? Et puis au pire, j'ai tonnumèro, donc j't'envoie un message pour savoir quand je peux les récupérer.

La rousse lui fit un sourire amicale, et Mika devait être la première personne, depuis quelques années, à qui elle souriait comme ça.

- Je veux bien.


Elle regarda son armoire à cds, et en prit quelques uns sans hésitation. Elle réfléchis à peine, et elle en avait trois quatres, qu'elle tendit à Mika. Malgré tout, elle ne voyait pas Mika comme un sauveur, où un super héros, elle le voyait plus comme un ami qui lui voulait du bien, elle se garda de lui dire, vu la situation, cela aurait était malvenue. Elle se remit face à lui.

- Celui c'est Withering to death, de Dir en grey. Il est excelleeeeeeent ! Un de leur meilleur, et celui-là, c'est Uroboros, leur apogée. Alors, celui là, c'est the pretty reckless , light me up ! Il est excellent, et le groupe, il est plutôt bon, afin, non, il est excellent. Je l'ai vu en concert il gére. Puis, le dernier c'est Genesis, Diaura. Pas trés connu, mais ça vaut l'coup.



- Merci, c'est gentils.

- Mais de rien, et puis j'te dois bien ça.

Elle fut surpris par son geste, mais lui répondit par un petit sourire.


- Tu as mon numéro, appelle moi à n'importe qu'elle heure. Reste forte.

- J'éviterai la nuit, ne t'inquiète pas !

Elle le raccompagna à la porte, en souriant.