J'étais à sept heure dehors, espérant réussir a me repérer parmi les salles de classes.
Après tout j'avais enfin réaliser mon rêve, j'étais à présent professeur de français.
Est-ce que les élèves étaient gentils, sympa ? Est-ce que je me ferait, pour la première fois des amis ?
Toutes ces questions futiles et sans utilités me trottaient dans la tête, et c'était le cœur serré que je m'aventurait devant le portail.
Je n'avais toujours pas l'habitude de ces paysages humains et de toutes ces construction futiles.
Le portail était fermé, après tout, normal, j'étais en avance.
Je m'assis un peu plus loin sur un banc, attendant l'ouverture du lycée.
Le temps se gâta alors, comme s'il n'avait attendu que ce moment et des trombes d'eau tombèrent du ciel.
Je me rappelait alors : j'avais oublié mon parapluie dans mon appartement.
J'attendais donc patiemment la venue d'une personne généreuse acceptant de partager son parapluie, ou bien la sonnerie annonçant l'ouverture des portes du lycée Wakuri.